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Le Centenaire
Vieil arbre tu réveille en moi des souvenirs confus, je t'ais vu moins triste et moins modeste, ta tête sous l'orage avait un noble geste.
Vieil arbre tremblant dans ton écorce grise ! sent-tu encore couler une sève qui grise ?
Il voit les mêmes champs depuis cent ans et cent ans, tout lui fut mal qui tord de douleur sans jamais pourtant un instant se ralenti son énergie.
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